Dans ma dissertation intitule´e "Arche´type des Images sur le Ciel et sa Transformation" (1969), j`avais ainsi dit: A partir de transformer des images sur l`au-dela｀ en choses concre｀tes-en choses artistiques ou de l`abord pratique a｀ la terre re＾ve´e dans l`animisme ne´olitique, l`abstrait et le concret agissent toujours sur l`un et l`autre dans l`histoire humaine. Pour ainsi dire, nous finissons par produire une chose mate´rielle, une chose tangible ou par arriver au lieu de´sire´, ainsi que nous finissons par prduire une fiction qui est ne´cessaire a｀ faire le nouveau concret. Tel phe´nome｀ne nous permet de tirer un facteur commun ou un principe dans le deve´loppement historique. Et la civilisation mate´rielle d`aujourd`hui est un re´sultat de me＾me principe et maintenant elle se dirige vers l`utopie, vers le paradis terrestre. Seulement, c`e´tait a｀ travers la science, qui n`est pas les pense´es offertes a｀ la contemplation onirique mais qui a e´te´ de´rive´e de ces pense´es, c`est-a｀-dire de la fiction ancienne, que nous sommes arrive´s a｀ la socie´te´ industrielle supe´rieuse. Je crois, donc, qu`il est capable, avec cette ide´e, de gu´erir le sentimentalisme commun aux poe｀tes transcendantals et de prendre un azimut de l`art contemporain. D`autre part, selon l`histiore de cite´s, le temple, qui est le repre´sentant des Architectures anciennes, est un motif de naissance de la cite´. Donc nous pourrions trouver que l`architecture est un motif important de la cite´. Auss: nous pourrions en conclure qu`elle est un motif primitif de la civilisation. Car la cite´. Ce n`est qu`un lieu ou｀ fleurit la civilisation, une forme synthe´tique de la civilisation. Et qui plus est, c`est par telle cite´ que nous arriverons a｀ l`utopie. Depuis ce, je voulais attacher cette ide´e a｀ l`Herme´neutique de W. Dilthey. Et sur ce, je voulais interpre´ter les re´actions re´ciproques de l`abstrait et du concret par la compre´hension et les de´finir comme substance historique. Ici, j`ai applique´ cette ide´e prive´e(?) a｀ P. Vale´ry d`apre｀s tels points de vue: 1) Il y a one dualite´-deux volonte´s dans son esprit de｀s sa jeunesse: l`une est la volonte´ tendante a｀ l`abstrait-la poe´sie, l`autre est la volonte´ tendante au concret-les choses et visibles. Ici j`ai traite´ seulement cette dernie｀re. 2) Son abstrait ressent le complexe d`infe´riorite´ contre le concret. 3) Il veut compenser le complexe, surmonter l`abstrait. Ici je les appele´s: the｀se, antithe｀se, ou en soi, pour soi dans la dialectique. Et c`est a｀ travers la Volonte´ vers le Concret que l`antithe｀se surmonte la the｀se. 4) La Volonte´ vers le Concret concentre sur le construire dont le principe est la science, surtout la ge´ome´trie. Vale´ry choisit l`Architecture comme le mode｀le de la construction. Voici une alliance merveilleuse de l`abstrait et du concret: la synthe｀se dialectique. Le complexe est compense´ et le sentimentalisme est gueri comple｀tement. 5) Vale´ry participe a｀la the´orie que l`architecture est un motif de la civilisation. 6) L`architecture est, selon D. Frey, contient un motif vers le future, vers l`au-dela｀. Apre｀s cela, nous pourrions l`appeler un utopiste qui part avec la me´thode scientifique et avec l`image concre｀te, mate´rielle tout autrement que les autres poe｀tes cherchaient et cherche a｀ travers des images vagues dans ses contemplations. En plus, il re´ve｀le la volonte´ vers le ciel platonien. 7) Avec ces points nous pourrions approcher de la the´orie Herme´neutique. 8) Comme le dire au paragraphe 1), Vale´ry a aussi la volonte´ vers. l`abstrait, vers la poe´sie pure et il a l`abstrait original, mais maintenant il a l`autre abstrait qu`il fait produire de son architecture-son concret fait par lui-me＾me. D`apre｀s ce nouve labstrait, j`ai cherche´ un fondement azimutologique de l`art de notre temps dont le caracte｀re est le concret.