De`s la premie`re lecture de L`e´toile de bois, on peut aise´ment remarquer une attention constante de Marcel Schwob porte´e aux liaisons des mots, des propositions, et des phrases. On est frappe´ par l`impression que le texte est entie`rement couvert de ce proce´de´. Il s` en de´pend en effet fondamentalement. Trois phrases sur cinq du texte n`y e´chappent pas. Ce proce´de´ semble re´pandu davantage a` cause de l`enchai^nement en combinaison dans la phrase, l`extension de la chai^ne d`enchai^nement, ou la liaison de phrases. Marcel Schwob e´glargit ainsi l`angle de vue, agrandit sa vision du monde, ce qui rend la prose tre`s poe´tique. Nous commenc¿ons cet article par introduire la notion de EA. Ensuite, nous fondant sur la statistique ge´ne´rale, nous analysons divers aspects de l`enchai^nement paralle`le dans le corpus. Ils sont de´licats et enrichissants du point de vue stylistique. On arrive ainsi a` lire la relation entre la forme et le contenu.