Contrairetnent a ce qui fonde le point de depart de la theorie Psycomecanique du Langage de Gustave GUILLAUME, i.e., La position coexistencielle (bi-directionnel/heterogone) de ≪matiere(=notion)-forme≫, mise dans l``ordre de 1 a 2, nous voudrions proposer l``ordre 1 2 inverse de ≪forme-niatiere≫, pour les raisons suivantes: 1) la forme est par definition une entite fermee, limitee et anaiysee alors que la matiere est celle ouverte, illimitee et comme tel non analysabie;2) c``est a partir de la forme analysable que l``on pent arriver a analyser la matiere et non vice-versa. En se fondant sur cette constatation bien simple, cet article vise a preciser les coordon-nees de la theorie psychomecanique du langage dans le cadre unificateur suivant:1)la theorie ≪forme-mnteiere≫ que nous proposons ``dappeler la representation analytique formeile objective (=morphologique) et de representer comme: q(1Ti-``2T) (q=forme; (1T-``2T) =matiere); 2) le corollaire de la theorie 1), qui admet dans la theorie 3) ci-dessous, 1`` absence de la representation analytique formelle (=morphologique) de in theorie 1) et qui pent se representer comme: #(1T-2T)(#:l`absence de q(forme);(1T-2T); 3) Ia theorie ≪matiere-forme≫ que nous proposons d,appeler la representation non analy-tique lexicale subjective (=syntaxique) et qui insiste subjectivement sur son caractere analytique formel objectif (=morphologique) (=(1)) et confonde elle-meme (=3) avec (1), au lieu d``admettre l``absence de (1). Sa representation sera: T(q1-q2) (T==matiere; (q1-q2)=forme). Si la theorie psychomecanique demeure toujours dans (3), elic va continuer son analyse a l``infini dans le cadre syntaxique (=lexical) seulement; si elle vise a atteindre a la theorie morphologique(= (1)), laquelle est son but, die doit reevaluer ses resuitats obtenus de telle facon qu``ils soient conformes a la theorie morphologique(l).