Cette etude se fonde sur l`analyse non arbitraire(syncptique) telle que: "forme (nucleaire) -matiere(non nucleaire)", et traite, de ce point de vue, du francais, parallelement au coreen, entre autres, des phrases "preconclusives"/"conclusives", et celles de "nominalisees"/"adjectivees" du coreen, correspondant a (I) "l`incidence de 1`dverbe et l`adverbialisation des adjectifs", et a (II) "le systeme du pradigme(QUI/QUE/QUOI)" elabore par Gerard Moignet (1974: Etudes de Psycho-systematique Franscise, Paris, Klincksieck, pp. 117-136/pp. 163-183), sous l`etiquette de nominalisation (en ce sens que la phrase au niveau de "puissance", c.-a-d., de nature de noeud zero(Q), en tent que forme ``encadrante``,* est a celle au niveau d`effet,* c.-a-d., de nature de noeud non zero , ce que substantif et adjectif sont a l`adverbe: *preccnclusive et *concjusjve au sens guillaumien du terms: Cf. Principes de linguistique theorzque, Paris/Quebec, 1973, p. 198). Nous avons deja apprehende le stade guillaumien, en le nommant "mecanisme synaptique non analyse(semantico-syntaxique)", ou la synapse "F-M" ne se confond pas avec celle de "F↔M" (°↔: analyse/continu) (Cf. mon article: Personne et verbe: vers une theorie synaptique de "nucleaire -non nucleaire )", Language Research Vol. 28, No. 1, Language Research Institute, Seoul National University, Seoul, p. 65). En s`appuyant stir cette dichotomie coherente, l`une continue/puissancielle, l`autre discontinue/actuelle, le contenu materiel de l`ordre synaptique de cc dernier etant a meme d`etre determine par le procede de discontinuation, et chacune divisee en ``grand``, systeme, c.-a-d.,